Après une nuit de repos bien méritée, il est temps de revenir sur cette journée qui, je l'espère, aura été au goût des participants.
Les participants : Le tracé :
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Une fois Sebco arrivé, on papote 10 minutes puis il est temps d'y aller ! On commence notre montée vers le Grand Ballon vers 8h30 : personne sur la route, quelques zig-zag pour mettre de la température dans les pneus, et c'est parti, les virages s'enchaînent à un bon rythme. Évidemment, il suffisait d'y penser et hop, on se retrouve derrière la seule voiture suffisamment déterminée pour monter aussi tôt...



Au bout d'une bonne heure de parlote, on décide de repartir, direction Gérardmer, en passant par La Bresse. Grand mal nous fasse, on se retrouve coincés derrière un cortège d'escargots, on rate de belles épingles... Mais ils finissent par s'écarter et on roule à peu près sans encombre jusqu'à l'approche de notre étape suivante. Peu avant Gérardmer, la route descend, avec une bonne visibilité et un bon rythme... et des routes humides sous les sapins. Ce n'est pas plus mal qu'une nouvelle "chicane mobile" nous ait ralentit.

Et c'est l'heure du casse-croûte ! Il fait déjà faim pour nos estomacs qui se sont levés (très) tôt ! Pique-nique sorti de la glacière (et d'un chalet à Burger

Les estomacs bien remplis, on reprend la route direction le col des Bagenelles avec un arrêt qu'on connait bien, puisqu'il est au programme de toutes les balades vosgiennes ! Ça roule bien (un camping-car à 20 km/h ne nous a pas ralenti bien longtemps). Une fois arrivés, je cherche un trou pour ne pas avoir à serrer le frein à main




Il est à peu près 14h00, on décide de repartir. On descend donc le col (qu'on a l'habitude de monter lors des autres éditions) mais ça ne va pas très vitre à cause du trafic. Ravitaillement pour ma grosse rouge et la jaune de Didiou à Sainte Marie aux Mines, et on descend vers Ribeauvillé. La route est géniale, pas de circulation, et je pars loin devant en jouant avec motard


4 kilomètres aller-retour, l'équivalent de 70 étages montés, pour arriver au château de Saint Ulrich qui domine la ville. La vue est splendide !!!



















Dernière portion du trajet, on passe par le Haut-Koenigbourg (où on croise un convoi de Megane RS), le col de Fouchy, le Hohwald, puis on redescend pour aller manger. Malheureusement les derniers kilomètres de descente sont lents à cause de 2 bus de tourisme qu'il est impossible de doubler. On se gare sur le côté, on attend 10 minutes, et c'est reparti, sans arrêt, jusqu'à l'Auberge. Au programme, tartes flambées à volonté et dessert !


Dernières photos pour la route, il est 22h, et il est temps de rentrer !
Une dernière fois merci d'être venu, d'avoir participé à la réussite de cette journée, et puis merci d'avoir lu

Les photos et vidéos suivront.
(hop une petite photo de ma conso sur la journée (autoroute comprise (7,5 L/100), finalement sur la balade en elle-même je devais avoisiner les 13 L/100 km, ça va
