Messagepar pier-gels » mer. 9 déc. 2015 03:25
Retour sur un rallye vosgien compliqué.Départ le vendredi après-midi pour une spéciale de 14km. Aprés 1h d’arrêt de course on part. Les premiers km sont difficiles, sol gras, pneus froid. On fini par trouver le rythme en assurant et retour au parc avec le 65eme temps scratch ducoup on est bien satisfait. Ça sera gros gaz le lendemain.Départ le samedi, il pleut, nous n'avons plus que 2 pneus pluie, donc on part avec 2 T71 retaillé devant. Départ, c'est une patinoire, route déjà très sale, c'est Bagdad là dedans.je n'aimais déjà pas cette es en recos, la encore moins, c'est piano piano, à l'arrivée nuage de fumée dans l'auto, fuite d'eau au raccord de radiateur de chauffage, pas grave ca roule.Ensuite 1h de routier, et là, le drame, de grosse coupure moteur aléatoire, on galère mais arrivons à l'es3. État de la route encore plus catastrophique mais on roule, environ 5km avant l'arrivée, grosse vibrations, crevé???? Non une fois à l'arrivée on se rend compte que les deux roue avant sont désseré, vive les jante d'origine Ducoup goo es4, celle ce passe bien, mais comme d'habitude on assure, les routes sont sale, dur de trouver du grip, je veux allez au bout.Sur le retour, gros probleme de coupure encore une fois mais on arrive au parc.A l'assistance c'est full bordel, changement des roue avant, les jantes d'origine sont hs, on remet des vieux pluie hs à l'avant, on roulera cool tampis. on change le capteur pmh au cas, de l'essence et goo.Arrivée à l'es5, arrêt de course, ducoup es en routier. Sur le routier, le problème de coupure s'aggrave, il faut maintenant rouler en tout temps au dessus de 5000trs/min mais ralenti nickel, on change la bobine mais rien. C'est énervant stressant, mais on arrive a l'es6. Et la le drame, on apprends le décès d'un pilote dans l'es5. Gros choc pour tous, nous décidons de continuer pour lui.Départ es6, perturbé par les événements qui viennent d'arriver. On pars, au bout de 200m elle coupe, sa m’énerve, je repars complétement énervé, je passe un ralentisseur soudé, l'auto s'envole, 90° dans un sens, 90° dans l'autre sur une route large comme l'auto, on descends dans le talus, s'arretons contre un muret de maison environ 5m sous la route. Ouf on a rien, l'auto a juste perdue l'antibrouillard, par miracle on arrive a ressortir facilement, on repars mais plus du tout dans le rythme avec cette grosse frayeur.Goo es7, l'auto déconne toujours, encore plus, on arrive, prenons le départ. Premier croisement l'auto coupe. Arrivé dans un droite, obligé de prendre la corde, une pierre dedans, on tape, la magic camber tourne, donc c'est le bordel, sa roule pu droit. Environ 1km après cela je perds la DA. On fini la spéciale comme ça.On s’arrête après le pointage, température d'eau au max, tout le liquide ressort du vase, l'alternateur est cassé, la courroie est partie, abandon a 1es de la fin.Plutôt déçu, on a galéré toute la journée, mais c'est peut a coté du drame qui s'est joué.Pour moi la saison s’arrête la, nous avions un régional de prévu mais la quantité de travail a réaliser et énorme pour 40km de chrono. Du coup on va prendre le temps de réparer, s'assurer que le joint de culasse n'ai rien pris, elle à l'air de toujours tourner comme une horloge. Le plus dur va être de trouver la cause de ces coupures qui arrivent surtout quand c'est humide. Et on va essayer de trouver une sadev également.Photos prochainement.