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Une chose que personne ne mentionne vraiment lorsqu’il s’agit de BEV par rapport aux moteurs à combustion est le seuil de rentabilité. Selon le nombre de kilomètres parcourus par an, ceux-ci peuvent être massifs.Une étude du célèbre institut allemand ISI-Fraunhofer a abouti aux résultats suivants en 2020.
^Seuil de rentabilité pour un BEV de milieu de gamme avec batterie capacité de 40 ou 58 kWh avec les émissions de GES production de batterie de 61 kg éq. CO 2 /kWh batterie capacité.
Pour les batteries plus grosses et/ou celles qui émettent plus de CO² pendant la production, les chiffres sont bien pires.
https://www.isi.fraunhofer.de/content/d ... zeugen.pdf
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Dans une étude citée par Forbes au milieu de l’année dernière, les choses se ressemblent. Il devient clair ici qu'un BEV ne devient rentable qu'après des milliers de kilomètres en termes d'émissions de CO².
Faites attention à la répartition en pourcentage des véhicules par rapport aux kilomètres parcourus.
https://www.forbes.com/sites/neilwinton ... idsreport/
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Ce n’est pas seulement à mon avis que tout cela n’est qu’une façade. Et nous n'avons même pas parlé des infrastructures de recharge ou du type de production d'électricité, qui en France par exemple, se fait majoritairement à partir du nucléaire. Nous revenons donc aux déchets déjà mentionnés par Namiro, dont certains doivent être stockés pendant des milliers d'années. Et ainsi de suite...
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Mais je ne veux pas transformer le sujet en un débat entre moteur à combustion et BEV. Il vaut donc mieux s'en tenir au sujet même d'Alpine.